Sur les 126 médicaments anticancéreux listés, la Pharmacie centrale des hôpitaux (PCH) a pu acquérir 100 d’entre eux.

Animant une conférence de presse jeudi, le directeur général de la PCH, Ali Aoun, a annoncé l’acquisition de 100 médicaments anticancéreux, précisant que les 26 manquants seront réceptionnés à la fin du mois en cours, et au plus tard, au début du mois prochain.

À la question de savoir pourquoi ces médicaments connaissent des ruptures de stock cycliques, M. Aoun a répondu que les perturbations dans l’approvisionnement des hôpitaux en médicaments « ont été causées par la pandémie de coronavirus qui a impacté tous les pays du monde, en plus des problèmes liés au transport et à l’approvisionnement des producteurs mondiaux en matières premières ».

S’agissant du budget alloué par l’État au profit de la PCH, il a indiqué  que celui-ci a atteint les 1,2 milliard d’euros, par an, précisant que des rallonges peuvent être octroyées en cas d’augmentation des prix sur le marché mondial.

Aline M.