Les candidats tricheurs s’exposent à une suspension prévue par la loi, alors que les auteurs de tentative de divulgation de sujets du baccalauréat s’exposent eux à une peine de prison très très lourde.

Intervenant sur les ondes de la radio nationale ce dimanche, l’inspecteur central à l’inspection générale du ministère de l’Éducation, Abdelaziz Osmani a prévenus les candidats au baccalauréat et les surveillants, ainsi que les responsables des centres d’examens que des sanctions exemplaires seront prise en cas de fraude.

Toujours selon la même source, les candidats au BAC s’exposent à une suspension en cas de triche, mais que les sanctions sont beaucoup plus sévères, exposant les auteurs à une peine pouvant atteindre dix ans de prison, en cas de divulgation de sujet(s), notamment par les surveillants et les responsables des centres d’examen.

Et d’ajouter que toutes les mesures ont été prises pour le bon fonctionnement des examens, que ce soit sur le plan de l’organisation ou d’encadrement des 700 000 candidats.

Aline M.